Comment des diamants associés au conflit en République centrafricaine ont pu se retrouver à Anvers, dans l’un des plus grands centres de négoce de diamants au monde ? Amnesty International a remonté la filière. L’ONG a détecté plusieurs failles au niveau des systèmes de contrôle d’exportation et d’importation et met en évidence les limites du processus de Kimberley censé empêcher les diamants de guerre d’arriver sur le marché international. Décryptage.
Lire la suite sur le site Novethic.